La location d’équipement médical est une solution de plus en plus prisée par les professionnels de santé. Que vous soyez en train de créer votre cabinet ou que vous souhaitiez renouveler vos équipements, le leasing médical vous permet d’accéder à du matériel performant sans mobiliser toute votre trésorerie.
Mais comme tout engagement financier, la location comporte certains pièges — surtout lorsqu’on découvre ce mode de financement pour la première fois. Voici les 5 erreurs les plus courantes commises par les professionnels de santé… et comment les éviter grâce à une approche structurée.
De nombreux praticiens se laissent séduire par un loyer attractif… sans regarder le coût total du contrat. Or, une fois les mensualités additionnées à d’éventuels frais de dossier, de maintenance ou de rachat, le montant final peut s’avérer supérieur à un achat direct.
Demandez une simulation complète du coût total (TCO : Total Cost of Ownership).
Vérifiez s’il y a des frais cachés (assurance, livraison, reprise).
Comparez avec un achat comptant ou à crédit, pour arbitrer en toute connaissance de cause.
Tous les contrats de location ne se valent pas. Selon vos objectifs, un leasing avec option d’achat (LOA) ou une location simple (bail d’usage) peut être plus ou moins avantageux.
Par exemple, un dentiste souhaitant conserver un fauteuil haut de gamme à long terme n’a pas les mêmes besoins qu’un kiné libéral souhaitant tester un appareil de cryothérapie pendant quelques mois.
Si vous voulez conserver le matériel en fin de contrat : optez pour une LOA.
Si vous préférez rester souple et évolutif : la location simple est préférable.
Posez-vous la question dès le départ : "Est-ce que je veux posséder ou seulement utiliser mes équipements ?"
Sous la pression de l’ouverture du cabinet ou d’un besoin urgent, certains professionnels signent un contrat sans lire les conditions générales. Résultat : pénalités en cas de résiliation, frais imprévus en fin de contrat, ou responsabilité totale sur l’entretien…
Lisez attentivement les sections sur :
la fin de contrat (option d’achat, renouvellement automatique, restitution…)
la maintenance (incluse ou non ?)
les pénalités de résiliation anticipée
les modalités de mise à jour du matériel
Si besoin, faites relire le contrat par un comptable ou un conseiller spécialisé.
Un contrat de 60 mois peut réduire le montant mensuel, mais vous bloque à long terme avec un équipement qui risque de devenir obsolète. À l’inverse, une durée trop courte augmente le loyer, ce qui peut alourdir la trésorerie.
Évaluez la durée de vie réelle de l’équipement.
Demandez si des clauses de sortie anticipée ou de renouvellement souple sont possibles.
Privilégiez la flexibilité, notamment pour le matériel informatique ou les technologies de diagnostic.
Tous les prestataires ne comprennent pas les spécificités du secteur médical. Certains manquent de transparence, imposent des fournisseurs peu pertinents ou offrent peu de suivi après signature.
Privilégiez un partenaire qui connaît les contraintes réglementaires et opérationnelles du secteur de la santé.
Vérifiez s’il travaille avec plusieurs fournisseurs, pour éviter les solutions verrouillées.
Assurez-vous qu’un service client est disponible en cas de problème ou de modification de contrat.
Chez Marlon, nous accompagnons médecins, dentistes, kinés, vétérinaires et établissements de santé dans leur stratégie d’équipement.
Nous proposons des solutions de leasing médical et informatique qui vous permettent de :
Choisir librement vos équipements parmi un large catalogue
Regrouper mobilier, matériel et informatique dans un seul contrat
Vous accompagner dans le choix du leaser le plus adapté pour vous
Adapter la durée de location à vos objectifs
Bénéficier d’un accompagnement humain, du devis à la fin du contrat
Préservez votre trésorerie. Équipez-vous intelligemment. Choisissez Marlon.
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